lundi 30 décembre 2013

CSU.TO le titre qui ne répond pas aux critères.

Constellation Software est une compagnie canadienne que certains analystes voient comme le future Research in Motion. Est-ce bon signe ou non?

Le titre s'est apprécié de près de 100% et établi chaque semaine un nouveau sommet historique. Le dividende est d'environ 1.9% et la capitalisation est de 4.6 milliards. Au niveau de la capitalisation, 4.6 milliards, c'est plus que BB et un peu moins qu'Open Text OTC.

Je me tiens normalement loin des titre qui double sur une période de douze mois et qui se transige à 52 fois les bénéfices alors pourquoi cet intérêt pour Constellation - acheté le 26 et 27 novembre à un prix moyen de 196.50$?

J'ai roulé l'outil de recherche sur Disnat, en sélectionnant des paramètres comme la couverture du dividendes, un dividende minimum de 2%, la croissance de celui-ci et la croissance du titre et des profits. Le gagnant: CSU!

Le montant investit est important bien que raisonnable et je surveille attentivement ce titre qui a terminé la journée à $226.23 ce qui représente un profit de 14.5% en tout juste un mois...

Stratégie: vente la moitié des actions à 250$ (26.6%) et le reste vers $300.

mercredi 18 décembre 2013

The Becker Milk Company

Drôle de nom pour une compagnie qui possède des locaux commerciaux occupés principalement par des dépanneurs.

Acheté en septembre 2012 à 13.83$, ce titre rapportant environ 5% de dividendes survivait sans problème aux aléas de la bourse. Le nombre de transactions était excessivement bas.

Une décision de conseil d'administration de demander à Price Waterhouse de trouver un acheter, gonfla le titre à $17.

Une annonce de Firm Management d'une offre sur BEK.B fit grimper le titre à 20$. J'ai placer mes actions à vendre à $20.50 hier soir et ce matin à 9:30' elles étaient vendues. Le titre redescendit par la suite à $19.30.

Bon coup, $2000 de plus en liquidité.

lundi 16 décembre 2013

Lululemon NASDAQ:LULU

Compagnie canadienne produisant des vêtements de yoga, succès à la bourse avec un croissance phénoménale au cours des dernières années - de $4 à $80 en quarante mois. Sauf que depuis ce temps, une série d'erreurs et de gaffes à transformé le titre en roller coaster, celui-ci se promenant entre 82$ et 57$. Le titre est actuellement à son plus bas depuis quinze mois. Le titre est toutefois en chute libre ayant perdu 12$ au cours des cinq derniers jours, sans montrer le moindre signe que la chute était terminée - sauf une petite augmentation de 0.50$ dans la dernière heure.

Aucun dividende, produit de luxe, management incertain, pourquoi alors investir dans cette compagnie?

Pas de dettes, bonne marge de profit, excellente croissance!

Problème majeur? Le titre n'est plus disponible sur le TSX et la conversion en US coûte cher...  Je dois donc vendre du US pour acheter LULU... Peut-être mais à $52...

Évidemment, on parle d'un achat mineur, vendant Dynex et Winstream pour environ $1800, deux compagnies à revenus de dividendes intéressants mais qui sont demeurez au même niveau malgré l'ambolie boursière des derniers mois. Le dividende est bon, mais risqué, la marge de profit des compagnie n'étant pas élevée. Ces deux titres ont été achetés avec un dollar US à 0.98$ et le gain du dollar est la raison qui a maintenu les titres.

Pour en revenir à LULU, la stratégie est d'attendre que le titre soit à $52, vendre les deux autres et acheter environ 40-50 actions de LULU.


Magasinage des fêtes

Avec encore beaucoup de liquidité, la recherche de la perle rare est en cours.

-Croissance
-Dividendes de 3%

Un peu contradictoire, n'est est-ce pas?

Pour une autre option, BB? À 6.20$ avec un optique de vente à $7.50 dans trois mois, 20% de rendement et je ne pense pas que le titre puisse descendre plus bas que 6$.


mercredi 11 décembre 2013

Vente au détail: secteur pharmacie

Deux titres me viennent à l'esprit lorsque je regarde ce secteur: Jean-Coutu (PJC.A) et Shopper Drug Mart (SC).

SC à été stable entre 40 et 42$ pendant près d'un an avant de grimper de 50% pour atteindre $60 en quelques séances. Le titre à perdu 5% au cours du dernier mois à $58 et offre un dividende de 2%.

PJC.A  a eu un comportement semblable, passant de 14$ à $19.60 - sur une période plus longue toutefois - avant de perdre 5% dans le dernier mois. Offre aussi un dividende d'environ 2%.

Pourquoi est-ce que me m'intéresse à ce secteur? Croissance et sécurité.

La population vieillissante, l'augmentation des soins de beauté pour les hommes, l'introduction de produits haute de gamme sont tous des facteurs qui amèneront une croissance du secteur et en cas de replis du marché, le secteur est solide et un dividende de 2% pourrait soutenir le titre.

Lequel est le meilleur investissement? Ça dépend du prix payé!

PJA semble avoir atteint le creux d'une vague à 18$, mais pourrait avoir un léger replis si le marché recule en général. Prix d'achat visé:$17.85 avec un prix projeté de $20 dans un an.

SC devrait perdre un autre 3-5% malgré la date ex-dividende qui approche. L'achat à 55$ avec un prix visé à $60 dans un an.

Donc deux possibilités d'achat pouvant rapporter 10-12% sur un an si le prix payé est le bon!


mardi 10 décembre 2013

Chorus Airlines CHR.B - 2

Chorus a terminé la journée à 3.99$ après l'annonce de l'augmentation du dividende de 0.075$ à 0.1125$

J'avais prédis une augmentation à 0.10$ et je craignais le retour à un dividende de 0.15$.

Il est évident que le marché attendait cette augmentation, autrement le titre aurait bondit de 3.60$ à plus de 5$. Toutefois, à 12% même si le risque de réduction du dividende existe encore, on peut s'attendre à ce que le titre atteigne 5$ d'ici à deux mois.

Est-ce une opportunité d'achat? Pas vraiment. Il me reste encore beaucoup de ce titre et le risque d'une nouvelle réduction du dividendes planera sur le titre, rendant celui-ci frileux à l'annonce de rendement plus faible.



dimanche 8 décembre 2013

Epargne Placement Québec

Maintenir une certaine sécurité est une précaution que tout investisseur doit prendre. Un effondrement du marché n'est pas catastrophique en soi, ce n'est qu'une question de temps avant que le marché reprenne, sauf si évidemment la retraite est éminente et que les besoins sont là.

Cette gestion du risque détermine le pourcentage du portefeuille qui doit être mis à l'abri du risque boursier.

Dans le cas de mon portefeuille, ce pourcentage est d'environ 30%, et ce pourcentage est maintenant entièrement à Épargne Placement Quebec en placement indiciel.

Desjardins m'a fait découvrir les placements indiciels à rendement basé sur le cours de la bourse, mais à capital garanti, mais après avoir émis des fonds à rendement illimité, une limite de 41% pour cinq ans est apparue, suivi maintenant d'un maximum de rendement de 22% pour 5 ans. Complètement ridicule. Un placement pouvant rapporter en moyenne 2% ne m'intéresse pas du tout.

EPQ offre un maximum de 60% pour le placement de cinq ans et aucun plafond pour celui de dix ans. Ma stratégie de placement est assez simple: je tente d'en placer à chaque trimestre pour 5 et 10 ans.

Il est difficile de prévoir le rendement, mais en prenant l'hypothèse que la bourse augmente en moyenne de 2% par année, donc qu'elle doublera en 35 ans, mais que le rendement annuel peut être de +/- 20%, le rendement moyen espéré chez EPQ est de 3.4% alors qu'il est de seulement 2.7% chez Desjardins.

Comme j'espère un rendement global de 6%' mon rendement boursier doit être d'environ 8%.


jeudi 5 décembre 2013

Opération ménage

ATP, TCM et RPL sont mes trois pires titres, cumulant des pertes de près de 5000$ et je me répète à tout les jours qu'ils vont remonter. C'est ce qu'ils font, uniquement pour mieux redescendre par la suite.

En fait, les pertes sur ces titre a atteint environ 10% depuis le début de la semaine.

ATP avait repris du poil de la bête et se transigeait à presque 5$ avant de chuter à 3.50$, mais c'est selon moi le plus fiable des trois...

Stratégie improvisée: on liquide TCM et RPL et on investit ailleurs! 24 heures pour prendre une décision finale.




mercredi 4 décembre 2013

Savoir quand vendre

Le plus difficile dans la gestion d'un portefeuille est de déterminer le moment propice pour vendre.

Évidemment, lorsqu'un titre a augmenté beaucoup sur une courte période, le risque de le vendre est de manquer une croissance future, par exemple, j'ai vendu Genivar à 29.30$, titre payé aux alentours de 22$, sauf que le titre à continué à augmenter pour atteindre $32. Frustrant! Sauf que les profits sont réalisés et que c'est ma responsabilité de placer l'argent de la vente dans un titre qui rapportera par la suite.

Mon problème, et je ne suis certainement pas le seul, c'est de vendre un titre en perte. En fait, je n'ai fait cela qu'une fois! AGNC payé 32.50$ attiré par un gros dividendes et un titre qui augmentait légèrement mois après mois. Après trois dividendes, celui a diminué, entraînant le titre vers des bas fonds. Le titre à été vendu à 25$ puis réinvesti dans Intel et Coke. Le rendement d'Intel et Coke est plutôt faible depuis l'acquisition (1.3%) mais le titre d'AGNC à chuté de près de 20% tout comme le dividende.

Si la même stratégie avait été appliqué à ATP et TCM, c'est-à-dire j'aurais sauvé plusieurs milliers de dollars. Devrait-on automatiquement vendre lorsqu'un titre perd 20%?

J'ai revu l'évolution de mon portefeuille en mettant comme hypothèse que j'aurais vendu un titre automatiquement lorsque la barre du -20% aurait été atteinte et la conclusion est que j'aurais perdu de l'argent sur de nombreux titres WJX, CHR.B, XIT, XEG, PBI, EGL.UN, EXE qui ont tous remonté à un niveau supérieur au -20%.

Étrangement, l'achat de nouvelles actions lorsqu'un titre baisse de 20% aurait donné un rendement supérieur et positif, malgré les pertes majeures dans certains titres.

mardi 3 décembre 2013

Barrick Gold ABX

D'amblé les ressources naturelles et moi, on ne fait pas bon ménage. Mes investissements dans le secteur pétroliers et miniers (RPL, EGL.Un, TCM et maintenant ABX) ont minés le rendement de mon portefeuille.

ABX me semblait un bon achat lorsqu'acheté à $16 au cours de l'été et la montée rapide à 22$ m'avait rempli d'espoir, sauf que le titre semble vouloir retourner d'où il est parti.

Le cours de l'or (actuellement à $1300 comparativement à $1700 il y a 52 semaines) semble la principale explication de la chute d'ABX et le titre est supporté par un dividende qui est cependant assez faible de 1.5%.

On garde, on vend ou on achète?

Les analystes semblent faire consensus sur on garde.

De mon côté, je m'attends à ce que le titre continue à descendre légèrement pour atteindre 16$ où il y restera pour quelques mois avant de remonter propulsé par le cours de l'or.

Verdict:Achat si le prix atteint 16.20$

Ps: AAPL n'a pas été vendu. À suivre, mais je pense que je vais attendre le prochain pic à $600.


lundi 2 décembre 2013

AAPL: prise 2

Le Thanksgiving est chose du passé et nous avons une pleine semaine devant nous pour décider ce qu'on fait du titre. Comme mentionné précédemment, la croissance au cours de la dernière année du titre acheté à un prix moyen de 409$ a fait de ce titre le plus important de mon portefeuille avec presque 6%. Considérant la valeur du dollar US et des dividendes perçus, le rendement est actuellement de 34%... Bonne occasion d'encaisser des profits.

Vendredi dernier, je visais un prix de 565$, mais la montée s'est arrêtée à mi-chemin. Aujourd'hui, je me dit que des que les données des ventes lors du premier weekend de magasinage seront connues, le titre continuera sa progression vers un sommet au cours des douze derniers mois et franchira bientôt le cap du 595$ - actuellement à 558$ en premarket.

Cette augmentation de 5% sera facilement atteinte si le titre gagne 1 à 2 % par jour! mais rien ne le garanti et c'est pourquoi j'envisage toujours de vendre une partie de mes actions. Prix visé: 570$

Suite demain matin!




dimanche 1 décembre 2013

L'importance des dividendes

Au cours des dernières années, les titres de revenus avec dividendes ont eu un rendement supérieur aux titres à rendement, donc pourquoi choisir les titres de croissances?

Si un titre qui verse un dividende de 0.90$ perd ce montant lors de la date ex-dividende, pourquoi la croissance d'un titre n'est pas l'équivalent des profits? Dur à dire et la seule explication est que selon moi, les compagnies ne savent pas quoi faire avec leur profit. Aussi bien l'utiliser pour payer des dividendes et racheter des actions...

Mon portefeuille rapporte actuellement $8000 en dividendes par année, ce qui représente environ un rendement de 5%. 90% de mes actions rapportent des dividendes - entre 1.5% et 15%.

Les titres à 10-15% me déçoivent en général. Le versement du dividende semble érodé la croissance du titre et dès que l'entreprise diminue le dividende afin d'avoir un peu de liquidité, le titre tombe. Il y a bien sûr des exceptions mais des ATP, AGNC, EXE, EGL.UN ont laissé un goût amer à ces investissements et aujourd'hui, un rendement supérieur à 10% est le signe d'un risque énorme.

En fait, depuis plusieurs mois, les dividendes de 3% qui représente environ 20% des profits m'attirent. Ces compagnies semblent en mesure de maintenir leur dividendes à long terme et offre habituellement une croissance intéressante. Dans le cas des banques canadiennes, le bonus est intéressant, le dividende est d'environ 4 à 4.5% avec une croissance de celui année après année.







vendredi 29 novembre 2013

Chorus Airlines CHR.B

Finalement, je n'ai pas vendu AAPL, le titre a atteint 558$, manquant la cible par 7$. L'arrêt du Nasdaq en après-midi à mît fin à la montée du titre, meilleure chance la semaine prochaine, d'autant plus que le titre de AT&T a perdu 0.56% à 35.21$.

Par contre, j'ai ai terminé la vente des 2400 actions de Chorus achetés au cours des six derniers mois, c'est-a-dire depuis la réduction de leur dividende. Les actions avaient été achetées en trois blocs à $2.40, $2.17 et $2.01 pour être revendues à $2.40, $2.65 et à $3.85, pour un profit net de 36% si on inclu le paiement de dividendes survenus au cours de cette période. Ai-je tout vendu? Non, il me reste un nombre appréciable d'action de Chorus avec un prix moyen inférieur au cours actuel. Maintenant que la poursuite avec Air Canada est du passé et que la compagnie à encaissé plusieurs millions en ayant réduit le dividende, la compagnie semble plus solide et pourrait atteindre $4.50 avec une légère hausse du dividende (de 0.075$ à 0.10$). Un retour au dividende de 0.15$ par action pourrait mener le titre au dessus de 6$ mais entraînerait une fragilité des finances de la compagnie.

Cette vente apporte de la liquidité à mon portefeuille, ce qui n'est pas une mauvaise chose par les temps qui coure.



AAPL: On garde?

En ouverture du marché, Apple AAPL flirte avec la barre du 550$. On est encore loin du sommet atteint en 2012 à 700$, mais le titre se déplace dans la bonne direction.

En fait, le dollar canadien se transige actuellement à 0.95 alors qu'il était à 1.03 au moment au AAPL se trouvait au sommet, ce qui représente diminue l'écart entre le sommet et le prix actuel pour les investisseurs canadiens.

Revenons à notre question de base, doit-on conserver ou vendre Apple?

Mon approche est relativement simple: 4 questions.

- Est-ce qu'aujourd'hui j'augmenterais ma position dans ce titre?
- Est-ce que le dividende actuelle représente un investissement intéressant?
- Est-ce un titre sujet à des variations historiques importantes?
- Est-ce qu'il y a des meilleures opportunités de placement?

Premièrement, je n'augmenterais pas mon investissement dans la compagnie, celui-ci représentant plus que cinq pour-cent de mon portefeuille - seuil psychologique.

Par contre, avec un dividende de 2.23% et le programme de rachat d'actions, le titre représente un investissement intéressant sur une base à moyen terme.

On sait toutefois que le titre d'AAPL est assez volatile et peu dégringoler de 10 à 20% rapidement. Il y a donc possibilités de vendre et de racheter si on est patient.

Opportunité de placement US? Pourquoi US? Simplement parce que ramenez les devises en argent canadien me coûte 2% et que je préfère garder mon argent en US pour des investissements futures - pas de compte US car c'est un REER. Donc, où investir au USA dans un titre défensif? PG , JNJ? Les titres sont à des sommets historiques. Les banques? Ma position dans le secteur financier est trop forte avec mes actions canadiennes, Télécommunication ? Possiblement que AT&T (T) avec un dividende de 5% représente un investissement intéressant.

Conclusion: on vend une partie d'Apple à $565 - je me dis que le le titre continuera à monter aujourd'hui basé sur les cours prémarché - et j'achète 100 actions d'AT&T.

jeudi 28 novembre 2013

Les bons coups

Quoi de plus évident que de parler de nos bons coups!

Lorsqu'on l'écoute un boursicoteur parler de ses exploits, on croirait qu'il maintien un rendement de 20% par année sans le moindre effort. Évidemment, si on parle de nos bons coups, c'est uniquement parce que les mauvais coups ne sont pas intéressant. Est-ce que mentionnez l'achat de Atlantic Power (ATP) à $12, puis à $8 puis à $6 et finalement à $4 intéresse quelqu'un sachant que le titre est actuellement à $3.89? Non, aucun intérêt et honnêtement, je ne m'en vente pas. Par contre, l'achat d'Apple (AAPL) à 393$ mérite d'être mentionné!

Donc, pour parler de mes bons coups, je ne peux passer sous silence la performance des banques canadiennes et des sociétés de fiducie. La performance de mon avoir lorsque confié à ces institutions me décevait énormément, sauf que le premier geste que j'ai fait après avoir liquidé mes fonds placés chez Manuvie et Sunlife fut d'acheter des actions de ses corporations, actions vendus quelques mois plus tard avec un profit de 30% en quelques mois. J'ai ai aussi investi de manière importante dans les actions de la Banque Royale, de Montréal et de la CIBC espérant un rendement de 7-8%, provenant principalement du dividende. Grosse erreur d'évaluation, le rendement annuel frôle 20%.

Je mentionnais ma mésaventure avec ATP qui se résume à acheter de manière successive un titre qui dégringole en espérant que le titre reprenne le chemin perdu. Mauvaise stratégie ? Sûrement pour au moins quatre titres, mais excellent pour Chorus Airlines qui vient de remonter de 50%. Hasard? Chance?

Pourquoi écrire sur mon portefeuille financier?

En fait, la raison principale est que ma blonde est plutôt tannée de m'entendre parler de mes placements et que je trouve qu'en parler est intéressant.

Mon portefeuille de placement est aux alentours de $200 000 et contient principalement des titres avec des dividendes intéressants. Le rendement est d'environ 14% depuis deux ans - avant mon argent dormait dans des fonds de placements qui rapportait de 2 à 3 %.

Est-ce que 14% est génial? Pas vraiment. C'est bien c'est certain, mais j'ai fait beaucoup d'erreurs, et la plus importante et fréquente est de ne pas vendre au bon moment, mais on en reparlera plus tard.